Bienvenue, bienvenue, bienvenue...

Gudule, c'est ma plante de bureau. C'est aussi la compagne de Norbert, ma seconde plante de bureau.


Gudule, seconde du nom, est une kalanchoé née en 2014 tandis que Norbert est un Dracaena Marginata, né à une date inconnue. Ensemble, ils attendent un bébé-plante de bureau (comprendre qu'ils l'auront quand la propriétaire schizo aura trouvé la perle rare).


Gudule en voit des vertes et des pas mûres. Elle râle, partage ses bons plans & astuces, écrit beaucoup, voyage un peu... Elle bricole aussi. Elle n'est ni vraiment écolo, ni vraiment bobo, ni vraiment fashion, ni vraiment féministe... Elle tente juste d'avoir la tête sur les épaules... Un peu.


Bref, bienvenue dans le bazar de Gudule! (parce qu'on s'en moque de Norbert, il parle pas).

mardi 25 novembre 2014

Le Mardi c'est... mise au point...


« L'air de Paris est si mauvais que je le fais toujours bouillir avant de respirer. »
de Erik Satie

Si vous vous attendiez à un article objectif, autant que vous fouiniez ailleurs. Aujourd'hui, dans ce billet d'humeur, je ne serai pas objective. Parce qu'en tant que fille du Sud et fièrement attachée à sa Provence, je n'aime pas Paris.

Dans l'esprit des habitants de Province, Paris représente tout ce qui est honnit: mépris, bourgeois bohême, totalement détaché de la réalité, arrogance, orgueil...comme si Paris était le centre de la France (et du monde)... et puis, pour les Sudistes, Paris, c'est le pôle Nord.

J'ai habité un an à Paris. J'ai détesté la ville. L'architecture est belle mais on la retrouve dans n'importe quelle ville où Haussmann et l'Histoire ont fait leur boulot. J'ai toujours eut du mal à comprendre ce que l'on pouvait aimer de Paris.
L'ambiance? Des gens qui ne sourient pas, qui s'entassent au-delà de la décence, de la violence en veux-tu en voilà.
L'air? Plus pollué que cela, tu meurs (ou tu te crois à Shangaï)
La qualité de vie? Je peux rire là?
La mode? Ouais, si tu veux vendre un rein ou deux pour acheter le dernier pantalon...


Bref, rien de rien ne m'a plu et me plaît dans Paris. Enfin si, j'ai adoré les musées... et Disney Land.

En définitive, je crois que ce que je supporte le moins dans Paris, ce sont les parisiens. Ces gens hautains qui pensent qu'ils sont les rois du monde et que le reste de la France n'est qu'un ramassis de bouseux consanguins qui méritent de mourir dans la fange dont ils sont issus. J'en veux pour preuve:

Et ouais ma Ptite Dame!

Remettons les choses dans le contexte. A la base, ce qui a lancé la conversation, est la publication sur le mur d'une amie d'un article sur le fait que Paris était la 1ère ville européenne figurant dans le classement des villes du monde les plus dangereuses pour les femmes (j'en ai parlé dans cet article ).
Léa était l'un de nos contacts communs avec cette amie. Une adolescente avec qui nous avons fait du rp. Et qui, maintenant qu'elle est à la Fac, a érigé les clichés de parigots au rang d'art.

Paris, Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré !... " - De GAULLE

Les Parisiens "de souche" (laissez-moi rire!) sont envahit par les "étrangers" dixit les Français. Certains Parisiens ont créé un nouveau "racisme"! J'trouve ce concept exceptionnel et tellement à la mesure de leur orgueil!

Je trouve cette carte tellement vraie...



Attention, attention, je ne mets pas tous les Parisiens dans le même panier. Je me moque juste de ceux qui pensent être les rois du pétrole alors qu'ils vivent dans l'une des pires villes du monde...




L'article qui m'a donné envie d'écrire ce billet:
J'ai préféré m'attarder sur le portrait des Françaises plutôt que m'égosiller sur un sexisme patenté de la part des Anglo-Saxons...

3 commentaires:

  1. Tellement d'accord... Pourtant j'aime bien Paris en fait, pour le côté culturel, mais j'ai très souvent eu de mauvaises expériences avec les parisiens, notamment ceux qui viennent dans le sud en vacances et se permettent de dire qu'on est des glandeurs, ou ceux qui nous accueillent comme des merdes chez eux parce qu'on est "provinciaux" (terme que j'exècre au plus haut point)... Bref moi aussi je pourrais écrire un article là-dessus :')

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  2. Ah bah on ne dit pas : je vais en province mais je vais à PROVINCE (et pas Provins comme je l'ai naïvement cru). Pour beaucoup de Parigots, la province, c'est une immense étendue autour de leur nombril, une unité voué à leur vénération.

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  3. Bretagne indépendante !!! :P
    Cette phrase prend tout son sens après cet article, sachant que je suis né dans le 9-1, y est vécu 8 ans avant que mes parents s'en dégoûtent et ne partent pour ce qui est maintenant mon vrai pays. Et oui, je fus au premier rang et je suis fier d'avoir déserté cette région !

    Si Paris-centre est plutôt "joli" quand on ne s'intéresse qu'à la déambulation contemplatrice, la mentalité, l'argot local... sans oublier l'amabilité des garçons de café parisiens... A croire qu'à Paris, chacun passe un stage pour devenir désagréable à ses 16 ans...

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